- âge & lieu de naissance : vingt neuf hivers, fin décembre, un jour de neige, encore un an avant de changer de dizaines. C'était à Londres, la première fille de la famille Faulkner, la seconde enfant - origines & nationalité : anglaise, par son père, mais aussi de par sa naissance dans la capitale de la Grande Angleterre. Et irlandaise de part sa mère, d'où sa blondeur qui tirait vers le vénitien petite, avant qu'elle attaque les colorations. - occupation PDG de l'entreprise familiale, une très plus grande raffinerie du Royaume Uni. Ce n'était pas Isi qui était destinée à prendre la tête de l'entreprise, mais plutôt son frère aîné, pourtant, c'était le souhait de Isibeal, pleine d'ambition depuis son plus jeune âge. Son frère se tourna vers le droit, lui lançant la place de ses rêves. - aspiration : ses parents, en particulier son père. Un grand chef dans les affaires, une main de fer, Isi lui ressemble beaucoup dans le milieu des affaires. Ensuite, il y a l'art, la peinture, et les romans, ainsi que sa soif de connaissance. - quatre choses favorites : la raffinerie, son chat, sa famille et les listes d'organisations, ainsi que le chocolat et le champagne. - statut civil : célibataire, elle a été brisé, depuis, c'est boulot et seulement cela, pourtant au fond elle, elle rêve de trouver quelqu'un, de fonder une famille, au lieu de ça, elle joue la maman depuis toujours avec ses frères et sœur. - traits de caractère : Is' et ses personnalités ; la working girl, la sœur maternelle et Is', que seuls les plus proche connaisse. Working girl, ambitieuse, directive, organisée, leader, manipulatrice, intransigeante, déterminée, humaine. La sœur protectrice, loyale, autoritaire, à l'écoute, rayonnante, douce.  Et Is', amusante, impatiente, curieuse, romantique, séductrice, casse-cou (elle adore les sensations fortes)- groupe: an geamhradh, froid et doux. - avatar : margot robbie.


I. i was younger then, take me back to when
Isibeal, vingt ans - « Tu es laide, tu n’as aucun talent. Tu ne feras pas partie de la confrérie, tu peux te jeter d’un pont, t’aura plus de chance de réussir » elle regardait cette jeune femme droit dans les yeux, avec un air hautain. C’est la reine des abeilles à la tête d’une confrérie. Des filles sont derrières elle, elles gloussent et accompagne ses paroles avec d’autres critiques. La jeune femme en fasse d’elles, c’est une petite brune, déjà l’air très fragile qui était le souffre-douleur de la fraternité d’Isi, leur jouet. Mais cette fois-ci, c’était la dernière, Isibeal avait décidé d’arrêter de martyriser cette jeune femme et c’était dit qu’en la chassant de la confrérie, elle passerait à autre chose. Mais le lendemain, la nouvelle alla vite dans le campus, une jeune femme de moins de vingt ans c’était jeté d’un pont proche de l’université et c’est brisé les cervicales à sa chute. Is’ eut un frisson dans le dos à cette nouvelle, ce n’est pas ce qu’elle avait voulu, elle n’est pas cruelle contrairement à ce que l’on peut penser. Elle garda la face, elle dût s’en moquer pour tenir son rôle, pour être toujours aussi suivi par ses abeilles. Mais ce fut la dernière, plus une seule fille sous la direction d’Isi ne fut un souffre-douleur, plus d’acharnement. Quand, trois ans après, elle eut fini ses études de commerce et gestion administrative, elle en avait fini avec l’université. Mais une tâche d’ombre restée, derrière ces excellents résultats et cet excellent avenir qui lui tendait les bras, Isibeal aura toujours la culpabilité du suicide d’une jeune femme. Sa manière de se rattraper, fut un don anonyme, une bourse offerte à la famille, au nom de leur fille, sans vraiment de raison. Comme si l’argent résoudrait tout.

Isibeal, vingt-sept ans – « Jamais je n’ai ressenti cela », elle n’était jamais tombée amoureuse. Elle avait eu des petits amis, mais rien de bien sérieux, rien de plus que de l’attachement, de l’amitié. Jusqu’à lui. Il fut embauché dans la branche communication de la raffinerie, il a un sourire à en faire tomber plus d’une. Mais le travail, c’est le travail, surtout avec le statut de la demoiselle, elle fut donc totalement de glace. Pourtant, il était souvent dans les parages, et petit à petit, quelques choses se créa, ils se taquinaient, s’envoyaient balader, partager des repas tardifs ensembles, commencèrent à se faire des confidences. Il put connaitre la vraie Is’, en dehors de la PDG, pétillante, amusante, attentive, agréable. Au bout de quelques mois, ils sortirent ensemble, des rendez-vous galants, puis ils se mirent ensemble. C’était il y a un an. C’était bien entre eux, ils étaient complices, fusionnels, mais aussi électrique avec leurs caractères à tête dures. Isi commençait à se faire tanner par sa famille, ils la voyaient différente, heureuse, ils voulaient rencontrer celui qui lui fit cet effet-là. C’était il y a à peine six mois. « Je ne peux pas rencontrer ta famille. », Isi se tourna vers lui, un regard interrogateur. « Pourquoi pas ? Ils veulent connaitre qui est l’auteur de mon bonheur, ils me tannent depuis des semaines. Si seulement mon père savait que c’était toi, il va être surpris », elle tentait de dompter ses cheveux. « J’ai posé ma démission sur ton bureau hier soir, Isibeal, je dois te parler », Is’ s’était stoppée, elle posa sa brosse et se tourna vers l’homme qu’elle pensait connaitre, sans dire un mot. « Je ne peux pas jouer plus longtemps, je suis déjà allé trop loin, j’ai été pris à mon propre piège. Je voulais que tu souffres, que tu te sentes vide, et j’ai l’impression que mon vide à moi ne va faire que grandir », Is’ ne comprenait pas, c’est bien rare quelqu’un qui arrive à lui clouer le bec. « Comment.. Pourquoi ?.. Je ne comprends pas.. », son cœur se serrait, elle avait l’impression qu’il se déchirait à l’intérieur d’elle. « Elle me parlait, elle rêvait de faire partit de ta confrérie à l’époque. Elle disait que tu étais dure, mais que c’était normale, je le voyais, j'y été aussi à l'université. C’était ma sœur Isibeal, tu ne l’as peut-être pas poussé de se pont, mais c’est tout comme. », son cœur c’était brisée, un trou à sa place se faisait. Isibeal ne pouvait plus bouger. Elle n’était plus la même petite garce qu’à vingt ans, jamais elle n’aurait pensé que son passé l’aurait rattrapé maintenant. Encore moins venant de l’homme qu’elle aimait. « Je t’ai mentit, sur ma famille particulièrement. Je n’ai pas menti sur mes sentiments pour toi, je voulais me venger pour elle, mais tu es si différente. Mais je ne peux plus, je ne peux pas faire comme si de rien été et je ne peux pas continuer non plus », il pris son sac sur son épaule, elle ne l’avait même pas vu le faire. Elle se sentait, vide, trahit, brisée, en colère, dévastée et en même temps, tellement coupable. Elle réussit à enfin dire quelques choses avant qu’il ne quitte son appartement. « Je suis désolée pour ta sœur, tellement. Et tu peux être satisfait, ta vengeance est réussie »

Isibeal, six mois après, aujourd’hui – « Faudrait penser à te trouver un homme, le mieux serait de bonne famille », son père était venu aux bureaux, comme toujours, il ne peut pas s’empêcher, même s’il a arrêté de travailler depuis deux ans, qu’il a passé le relai absolu à sa fille. « N’oublie pas le repas de dimanche midi, ta mère va faire une crise si l’un de vous évite encore un repas de famille », le fameux du dimanche. Isibeal aimait retrouver ses frères et sa sœur, mais elle les voyait aussi individuellement et elle a du travail. C’est son truc, plus encore qu’avant, elle s’est enfermée dans le travail, trouvant toujours quelque chose à faire. Elle n’arrive plus à être seule chez elle sans sentir se vide dans sa poitrine. Même son plan cul ne lui change qu’à peine les idées. Cela fait plus de six mois, pourtant, elle n’arrive plus à sourire franchement. Ses frères et sa sœur sont sa source d’énergie, mais elle ne se confie pas beaucoup à eux sur ses soucis, elle se confit à son frère aîné, mais c’est dernier temps, il a des choses à gérer aussi. Elle ne veut pas inquiéter sa famille, elle veut garder cette image de femme forte qui gère sa vie et ses émotions.


II. we made these memories for ourselves
- pseudo/prénom : troupie/marlène. - âge : vingt quatre ans. - type de personnage : pré-lien, famille Faulkner. - avis sur le forum : il est beau, il est frais et fruité . - un dernier mot : je suis fouuuu de vouuuuuuus .